Chaînes porte-câbles triflex dans une cellule de réparation autonome chez SEAT

• Ce qui était nécessaire : Chaînes porte-câbles triflex, Système de rétraction linéaire, Support pivotant
• Exigences : La chaîne porte-câbles doit être flexible tout en protégeant les câbles contre les courbures.
• Secteur : Industrie automobile
• Succès pour le client : Longue durée de vie, car le faisceau de câbles n'est pas sous tension.

La cellule de réparation autonome installée par Procon Systems dans l'usine SEAT fonctionne en trois étapes : Tout d'abord, la carrosserie est guidée à travers un tunnel de mesure. L'étape suivante consiste à amener la carrosserie dans la cellule de réparation, où elle est examinée pour détecter les dommages. Au cours de la troisième étape, les zones concernées sont poncées à l'eau et les défauts sont éliminés. Les résidus de ponçage sont ensuite éliminés et la peinture est polie. Ces étapes de travail sont entièrement réalisées par des robots.

Le plus grand défi pour les ingénieurs a été de s'assurer que les dommages pouvaient être détectés et réparés à tous les endroits de la carrosserie.

Il n'était pas question d'utiliser un ensemble de câbles suspendus à des poulies, car un tel système est soumis à une forte tension, ce qui entraînerait inévitablement des ruptures de câbles.

Le choix s'est porté sur le système triflex d'igus. Les chaînes d'énergie triflex offrent une flexibilité et une mobilité accrues par rapport aux systèmes traditionnels de tubes ondulés. En même temps, le rayon de courbure est limité, de sorte que les câbles ne peuvent pas être pliés de manière excessive. De plus, les chaînes porte-câbles triflex permettent une certaine torsion.

Le système RSEL a été choisi pour la chaîne porte-câbles sur le robot, car il offre le meilleur rapport qualité/prix. Il est moins cher que le système RSE et plus mince que le système RS. En outre, différents fluides devaient être acheminés en toute sécurité sur le robot, comme les tuyaux pour les produits de polissage, l'air comprimé ainsi que les câbles de commande et de données pour les fonctions de l'axe 6 avec la caméra.

Pour les axes 1 à 3, moins sollicités, le choix s'est porté sur la chaîne TRL (light 3D), moins coûteuse. Celle-ci est légère, peu coûteuse et facile à remplir.

Sur les axes 3-6, on a opté pour la TRE.100.145.0, plus stable, afin d'offrir suffisamment de place aux câbles et aux tuyaux. Grâce aux deux ouvertures latérales de la chaîne énergétique, le remplissage peut être facilement optimisé.

Le support pivotant garantit la liberté de mouvement nécessaire au robot et constitue, avec son angle de rotation maximal de 270°, la solution idéale et la plus économique pour cette application.